Iris LARANSSAY

I. Identité

Nom : LARANSSAY
Prénom : Iris
Date de naissance :24 décembre 1990 (date Tori) -> 16

II. Histoire

Avant votre arrivée au SGC ou sur Atlantis :

Iris est née sur la planète Edorkin, planète qu’elle ne connaît que sous ce nom et dont elle ignore la localisation, 16 ans avant d'arriver sur Terre. Elle est une Otyhya, une Mémoire Vivante, c'est a dire qu'elle est née d'un centre de création génétique, ou les gènes désirés sont triés de façon à créer des être "doués" en certaines matières.

Cette technique n'est pas systématique, et n'est utilisée en fait que pour pallier à un manque dans certains domaines. Il en résulte une banque génétique impressionnante. Chaque Otyhya hérite des connaissances de ceux qui l’ont précédé dans son domaine, connaissances qui se réveillent au fil des ans afin de ne pas surcharger l’enfant et de lui permettre une évolution personnelle harmonieuse.
Les enfants ainsi crées sont loin d'être considérés comme des monstres ou des créations. Au contraire, ils bénéficient de l'affection du peuple de la République qui voit en eux des héros ou des victimes, considérant que leur chemin est déjà tout tracé, et ils sont un peu les enfants de tous. Les Otyhya sont placés dans des familles triées sur le volet, et la femme met au monde l'enfant afin de renforcer les liens d'affection.

Ils bénéficient en outre d'une éducation soignée et bourgeoise, dans ce monde ou le modèle social est la haute bourgeoisie française du XIXeme siècle et leurs seules obligations sociales liées a leur statut sont ce que leur impose les gènes qui les ont conçus. Pour le reste, il s’agit d’obligations spécifiques au niveau social de la famille qui les voit naître.

Iris est donc ainsi née dans la famille Laranssay, crée pour l'étude, le recensement des connaissances et des langues dans le but de devenir ambassadrice. Elle parle, lit et écrit ainsi de façon atavique l'Ancien, le goa'uld et le Asgaard, ainsi que l'écriture si particulière du peuple des Mers. Cependant, elle est incapable physiquement d'entendre et parler cette langue, meme si il est raisonnable de penser que si elle avait les organes pour, elle lui serait aussi naturelle que les trois autres. Bien entendu, elle parle Edorke.

Née d'Aubricus et Amaritia Laranssay, la jeune fille, comme tous les ohytyae, est civilement fille unique. Gatée par une famille qui attendait cet enfant depuis des années, son enfant comme son adolescence a ressemblé à un conte de fées. La famille vivait en effet dans la capitale, dans un quartier cossu de grandes maisons aux jardins vastes et entretenus. La scolarité des ohytyae étant specifiques à leurs capacités cognitives, les relations sociales de la jeune Iris se sont nouées par le biais ce celles de ses parents et du sport qu'elle a pu pratiquer.
Une vie de rêve donc, dans un environnement privilegié, ou la seul limite à sa liberté se situait dans celles de la ville. Il était en effet interdit aux Ohytyae de quitter la capitale. c'est pourquoi un certain nombre de paysage lui étaient inconnus en arrivant sur Terre, comme la mere, la montagne, la campagne ...

A l'aube de ses 15 ans, Thyoris a été attaquée par des vaisseaux inconnus. Ses parents, des ambassadeurs en contact avec d'autres planètes par le biais de la Porte des Etoiles (un privilège rare qui explique le peu de fuite par ce biais) l'ont alors poussée vers la Porte du Domaine Sacrée et y ont tapé un code.
Iris a été poussée dans le vortex, et s'est retrouvée .... Dans un endroit bizarre et très laid, plein d'hommes et de femmes qui pointaient sur elle des trucs étranges. Pauvre petite aristocrate du beau siècle au milieu du SG-C ...

Sa premiere année sur terre fut assez difficile. La perte de ses parents, la perte de son monde et de ce qu'elle connaissait, ainsi que le fait d'être assignée dans les couloirs gris du SGC la menèrent presque au bord de la dépression. Le fait d'être entourée d'archéologues et historiens fut le palliatif nécessaire à cette sensation de déracinement, et Iris se découvrit une utilité pour sa nouvelle maison, qui ne tarda d'ailleurs pas à entre repèré.

Si le fait d'être confiné dans un secteur ne la changeait pas beaucoup, le fait en revanche d'être confinée sous terre a devellopé un début de clostrophobie qui se voit notamment par un besoin constant de bouger. Quelque soit son activité, il est rare en dehors des cycles de sommeil, de trouver la jeune fille dans sa chambre.

C'est sans doute cela qui l'a amené, plus d'une fois, à trouver des moyens de sortie plus ou moins officiels (que ce soit en prenant des cartes d'effectifs terriens ou en trouvant les sorties de secours) pour voir le ciel.

C'est lors de ces occasions qu'elle s'est constitué une "cache" dans une grotte naturelle de la zone protégée de Cheyenne Mountain, ou elle a mis a l'abri, dans un vieux coffre, un certains nombre de livres et de "vivres", constituées pour majeures parties d'Oreo et de sodas divers, et ou ses escapades la conduisent regulièrement.

C'est d'ailleurs la qu'elle fut un jour surprise par un militaire du nom de Richard Grant qui effectuait une patrouille. Après hésitation, celui ci la fit rentrer discrètement dans la base. De la commença la relation entre ces deux personnages, dont l'un refusait de reconnaitre la relation quasi paternelle à la jeune fille et l'autre y trouvant à l'inverse un certain soutien affectif.

III. Personnalité

Caractère et comportement :

Iris n’est pas une jeune fille très extravertie et garde la majorité de ce qu'elle pense pour elle. Mais en général si elle le dit, c'est qu'elle le pense! Néanmoins, elle sait jouer sur sa notion élastique du mensonge pour chercher a atteindre ce qu'elle veut. Bien que relativement jeune, elle aime a user des ses armes personnelles qui sont tout d'abord son approche hautaine et sérieuse du monde (du moins a première vue) qui lui donne l'air d'en savoir plus qu'il n’est vrai, d'autre part sur son physique de petite poupée fragile qui, elle l'a très vite compris, lui donne un avantage psychologique dans certains cas.

Introvertie, a la limite secrète, c'est une jeune fille qui a connu l'éducation aristocratique de ceux de sa caste. Il en ressort qu'elle assimile très vite les coutumes et usages des civilisations et de leurs populations. Par ailleurs elle bénéficie d'un esprit "mécanique" qui aime à démonter pour comprendre. Elle ne répugne pas a manipuler si c’est nécessaire sans que cela lui donne de vrai problème de conscience, et ne s’attache pas facilement. En revanche une fois qu’elle a décidé qu’elle aime bien quelqu’un, bon courage.

Signes particuliers :

Neant

IV. Vie sentimentale

Neant

Epoux(se), petit(e) ami(e) :

Neant

Informations complémentaires :

Caractéristiques

* Historique génétique de l'espèce/race si connu :

Les edorkes humains sont d’origine multiple. D’une part ils sont issus de l’arrivée des Anciens sur la planète, d’autre part ils descendent des Jafas accompagnant Nirrti. Plus précisément, les Ohytyae sont le fruit des manipulations génétiques de Merlin, ayant pour but d’accéder à un maximum de connaissance pour utiliser et développer les technologies anciennes, dans le but de lutter contre les Oriis. Merlin étant parti avant l’achèvement de son arme, Nirrti a appris l’existence de ces humains retravaillés, et, pour parfaire son propre plan de créer des Ok’tar, a continué le travail de l’Ancien.
Au fil du temps et des manipulations, d’autres mémoires sont venues se greffer comme celle du peuple de la mer ou des populations originaires de la planète. Mais leur ADN est en grande majorité humain.
A l’origine, les Ohytyae étaient deux. Avec le temps, ils ont été multiplié au nombre de neuf, aux connaissances sectorisées afin d’éviter qu’ils ne soient trop « supérieurs » aux humains et natifs de la planète.

* Morphologie et spécificités anatomiques :

Les Edorkes humains ne sont guère différents des terriens, à l’exception de certaines tribus des royaumes Tyrenh. Le métissage avec les populations locales ont donné à ces tribus un teint rose / mauve qui les rend aisément identifiables. D’un point de vue anatomique, les humains d’Edorkin sont semblables aux terriens, à l’exception des populations déjà citées ainsi que des ohytyae dont les manipulations ont altéré la formule sanguine, tout d’abord involontairement, puis de façon a rendre compatibles entre eux les Ohytyae. Anatomiquement, aucune différence notable.
Il existe également des populations non humaine que je develloperai plus tard.

* Biologie :

- Alimentation: Majoritairement omnivores, certains pratique le végétarisme ou a l’inverse l’alimentation strictement carnivore, par goût ou par idéologie.

- Reproduction: sexuée.

- Pathologies: Les pathologies héréditaires et de déficience génétique ont été éliminées par les technologies léguées par Merlin et Nirrti. Pour la même raison, très peu de maladies virales sont encore dangereuses.

- Immunologie: Un système immunitaire basé sur la primo vaccination des maladies connues ainsi que sur le développement d’anticorps spécifiques. En terre étrangère, les édorkes sont relativement protégés, mais comme tout être vivant très sensible a une infection inconnue.

- Communication:Orale

* Situation politique :

La planète est pacifique. L’armée et les armes y existent, mais la plupart des royaumes et des républiques préfèrent la négociations a la guerre.

* Situation religieuse :

- Les adorateurs de Nihyirti, adeptes des dieux aux yeux de feu, lui consacrent leurs enfants et se reconnaissent au signe qu’ils se font tatouer sur le front. Loin d’etre marginale, cette religion s’étend au dépend de celle des deux lunes.

- Le culte de Fredh’ja, dont les prêtres se reconnaissent a branches fraîchement coupées qu’ils portent a la ceinture, symbole de renaissance et de vie. (politiquement, ils sont logiquement farouchement opposés aux premiers)

- Le culte des deux lunes, relativement récent, cette religion, en fait plus une secte, est un dérivé du culte de Fredh’ja. Mais il se rapproche également de celui de Nihyirti en prônant la consécration des enfants a la naissance et le retour a un royaume d’ordre divin. Néanmoins, il n’en partage pas les idées expansionnistes.

La plupart des habitants sont adeptes du culte de Fredh’ja en raison de la liberté de pensée qu’il leur donne et du peu de contraintes religieuse. Cependant, la recrudescence d’une certaine criminalité donne du grain a moudre pour les deux autres courants religieux.

* Situation technologique :

La culture edorke associe un haut niveau de technologie génétique et de transmission par la technologie des cristaux héritée des anciens a une volonté affichée de rester dans un monde relativement figé dans le temps.
Ainsi, même si ils ont les connaissances nécessaires en matière de motorisation, ils se déplacent toujours dans des voitures a chevaux, a l’exception des services médicaux, militaire ou de securité.

compte rendu d'exploration a écrit:

Reference : P3K-448
Nom : Edorkin

Remarque : Maîtrise de la science génétique

Statu : en négociation
Ressources : forets, steppes, océans, rivières, minerais précieux

Astres : 1 soleil, 2 lunes, dont l’une toujours visible du continent Renhanh

Population

Géographie

Edorkin est une planète majoritairement maritime. (90 % de la surface de la planète) deux continents de la taille de l’Afrique rassemblent la population humaine et indigène.

De nombreuses îles parsèment les océans et la plupart sont inhabitables en raison de l’absence totale de ressources élémentaires (eau douce, vivres) et sont le repaire d’espèces animales autochtones.

Les continents sont recouverts de foret dense et de steppe au nord, de déserts sur la ligne de l’Equateur et de savanes précédant une zone pluvieuse et arborée au sud.
Les déserts sont particulièrement arides, et seules les populations natives et faite pour le climat qui y règne peuvent y vivre.

Les deux continents portent les noms de Tyrenh et de Rehanh.

Les nations des deux continents sont liées par des échanges commerciaux, culturels et politiques en ce qui concerne les républiques.

Par ailleurs, il existe sur cette planète un Peuple des Mers en retrait des peuples connus. Leur existence est attestée par des liens commerciaux et diplomatiques avec le Thyoris et les relevés océanographiques montrent l’existence d’une culture organisée.

Histoire

La légende raconte qu’a l’aube des temps, seuls les Edorkes vivaient sur le planète. Ils vivaient de pêche, d’agriculture, et d’échanges avec leurs frères des mers. Des dieux bienveillants leur apprenaient alors à utiliser les outils et les techniques. Puis vint la première Guerre des Dieux. Le monde des Edorkes vit s’affronter les dieux bienveillants à ceux aux yeux de feu

[Rem : Goa’uld ?]

Ces derniers étaient venus avec leurs esclaves venus d’un autre monde par le Cercle d’Eau, la Porte des étoiles

[Rem : ils l’appellent la Porte du Domaine Sacré].

La lutte fut rude, mais finalement les dieux aux yeux de feu quittèrent Edorkin en laissant sur place leurs serviteurs et leurs esclaves : des humains.
Les dieux bienveillants les prirent sous leurs ailes, et leur apprirent également a vivre de ce que leur offrait la planète. Ainsi, sous l’égide de la déesse Fredh’ja, les trois peuples d’Edorkin vivait de façon pacifique.
Elle a fini par quitter la planète, laissant son peuple sans défense. Les dieux aux yeux de feu choisirent ce moment pour revenir. Ils attaquèrent la planète et réduisirent les Deux Peuples à l’esclavage. Seul le Peuple des Mers aurait pu y échapper. La nouvelle déesse qui avait pris possession de la planète de nommait Nihyirti [Rem : Nirt’i ?]. Elle est représentée dans les temples sous les traits d’une femme magnifique, humaine, tenant en main la destinée des peuplent qui s’inclinent devant elle.
De la première période, il reste très peu de vestiges. Quelques tumuli, des peintures murales dans des grottes ou les rares constructions en dur qui subsistent, de la poterie, des sculptures. Et Fredh’ja n’est jamais représentée. En revanche, la seconde période, dite Nihyirtienne, se révèle très riches en témoignages de toutes sortes : temples, fresques, écrits, … de nombreuses légendes nous viennent de cette époque, telle celle de la Terra Humana ou encore du Domaine Sacré.

La période Nihyirtienne a duré pendant plusieurs centaines d’années, au vu de l’importance archéologique des vestiges, et s’est éteinte avec ce que les légendes nomment « seconde guerre des dieux. » Fredh’ja serait revenue avec les dieux de l’Askaar [Rem : Hasgard ?] pour mettre un terme à la suprématie de Nihyirti. Cette période, post nihyirtienne, est très peu connue, et principalement par les écrits d’un certain Frezzna de Jaar, historien edorke antique. Encore lui-même n’a-t-il fait que compiler les légendes orales qui lui avaient été confiées.

Tout ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que cette période a vu une forte chute de la densité humaine et tyrenh. Trop peu de renseignements sont connus quand au rôle du peuple de la mer, mais les légendes s’accordent a dire qu’ils ont mis a cette occasion leur pouvoir au service de Fredh’ja.

Quoi qu’il en soit, les dieux aux yeux de feu, ont été chassés par Fredh’ja, et un nouveau système a été établi.

C’est également a partir de ce moment que les humains on commencé a apprendre la science génétique.

Il faut encore noter la guerre qui a opposé les humains aux tyrenhs. A cette occasion, il semble qu’il ait été fait usages d’armes si puissante que le nombre de morts a effrayé jusqu’aux instances militaires. Les survivants ont donc établi une paix bâtie sur le respect des peuples et de leurs terres. Les deux continents ont donc vu leur géographie « humaine » changer pour devenir ce que nous connaissons aujourd’hui.

[rem : il faudrait voir si ces armes ont réellement existé et les étudier]

C’est également a ce moment qu’a été crée la caste des Ohytyae. A la base, ces individus génétiquement modifiés étaient originaires des trois peuples. Ils avaient pour but de garder la mémoire de toutes les connaissances humaines, tyrehns et des mers, afin de les perpétuer et ne pas risquer de nouveaux conflits. Ils étaient alors traités comme des demis dieux ; dédiés a des temples, et porter atteinte a leur dignité était considéré a l’égal d’un sacrilège. Au fil du temps, les tyrehns et le peuple de la mer se sont retiré du système des ohytyae, et seuls les humains perpétuent encore cette tradition.

Religion

Trois grandes religions se partagent la planète :

La plupart des habitants sont adeptes du culte de Fredh’ja en raison de la liberté de pensée qu’il leur donne et du peu de contraintes religieuse. Cependant, la recrudescence d’une certaine criminalité donne du grain a moudre pour les deux autres courants religieux.

Société

Nous nous intéresseront plus précisément a la société thyorienne des républiques fédérées. Il s’agit d’une structure pyramidale ouverte. C’est en fait une société bourgeoise dont la base est constituée d’une population laborieuse, tant rurale qu’urbaine.
Cette population évolue dans la sphère administrative, commerciale, de services et dans le fonctionnariat.

Au dessus se trouve la bourgeoisie proprement dite. Financièrement aisées, elle évolue dans la fiance et le commerce. On la trouve également dans tout ce qui a trait aux ambassades, aux relations internationales…

Enfin, au sommet de la pyramide se trouvent la Matriarche et le Conseil des Républiques. La Matriarche est nommée parmi des non ohytyae remarquable dans sa branche, toujours une femme en souvenir de la déesse, et n’a qu’un rôle de présentation et de consultation. Le Conseil en revanche est élu au suffrage universel et procède au gouvernement en nommant des ministres et en promulguant des lois. La aussi, les ohytyae sont exclus.

Les otyhyae

A la base, ils n’étaient qu’une banque de données de mémoire génétique. Ils sont toujours plusieurs car la connaissance de la planète ne permet pas a un esprit humain, même travaillé par la génétique, d’en retenir tous les éléments sans dégénérer. Il y a donc un otyhya par spécialité : sciences humaines, musicologie, biologie, chimie, mécanique, botanique, littératures, danses et expressions artistiques, sports, stratégie et sciences militaires …

EN fait, tous sont crées sur le même modèle génétique, a ceci prés que seule certaines données de la mémoire génétique sont activées. Et encore s’éveillent elles qu’au fil du temps afin de ne pas surcharger trop vite l’esprit qui se construit.

Les otyhyae sont exclus de la vie politique et des centres de décision en tant qu’acteur, mais pas en tant qu’électeurs, et ceux afin d’éviter la tentation de prise de pouvoir qui pourrait se développer en eux du fait de leur naissance. De même, ils ne se marient pas entre eux et ne peuvent transmettre leur gènes et seuls les gènes « humains naturels » sont transmis a leur descendance. Ils n’ont pas de droits particuliers dans la société, mais des privilèges certains en matière d’éducation.

Les parents qui les éduqueront sont choisis en fonction de la stabilité familiale, et l’enfant est mis au monde par la mère. Ainsi se crée des liens qui les empêchent de se sentir totalement hors la société, même si en fait ils jouissent d’un prestige et d’une reconnaissance dont ils jouent.
De nos jours, les otyhyae ne sont plus des demi-dieux, mais la majorité de la population les considèrent comme des symboles de la nation au même titre que l’étendard des deux lunes. Il est donc très mal vu de mal se comporter envers un otyhya.